
L’attaquant portugais du Real Madrid Cristiano Ronaldo est entré dans l’histoire du football espagnol en ouvrant le score face à Almeria dès la 4e minute de jeu avant de doubler la mise à la 77e, ce qui lui permet d’établir un nouveau record de buts inscrits en une saison en championnat, avec 40 réalisations.
Ronaldo a donc fait mieux que le Mexicain Hugo Sanchez (Real Madrid 89-90) et l’Espagnol Telmo Zarra (Athletic Bilbao 1950-51) qui s’étaient tous deux arrêtés à 38 buts.
Voici une compilation des 40 plus belles images du match Real Madrid - Real Majorque et de la célébration du trentième titre de champion d'Espagne, au stade Santiago Bernabéu mais aussi à la fontaine de la Cibeles.
















Les Madrilènes ont encore perdu des points en Liga (22/09/2011)
Le Real Madrid accroché à Santander
Après sa défaite à Levante, le Real Madrid a perdu deux nouveaux points dans la course au titre en concédant un match nul et vierge sur le terrain de Santander. Et comme à Levante, les points perdus ne sont pas tellement dus à la prestation de leurs adversaires mais uniquement au mauvais jeu madrilène. Les joueurs de Jose Mourinho ont clairement manqué de créativité et se sont à peine créé quelques occasions. Même Cristiano Ronaldo paraissait éteint. Le Real Madrid devra réellement se réveiller s'il veut se raccrocher au train de la Liga.
Fiche technique:
0 - Santander: Toño; Francis, Álvaro, Bernardo, Christian; Jairo (Adrián, min 75), Tziolis, Diop, Serrano (Cisma, min 63); Stuani (Munitis, min 68) et Nahuelpan.
0 - Real Madrid: Casillas; Arbeloa, Varane, Carbalho, Marcelo; Callejón (Di María, min 46) , Xabi Alonso, Lass (Kaka, min 76); Ozil (Higuaín, min 68), Ronaldo et Benzema.
Buts: aucun.
Cartons jaunes: Ozil, Lass, Stuani, Christian, Munitis, Adrián et Tziolis.
Cartons rouges: aucun.
Stade: El Sardinero, Santander, Espagne.
Le Real Madrid accroché à Santander

Fiche technique:
0 - Santander: Toño; Francis, Álvaro, Bernardo, Christian; Jairo (Adrián, min 75), Tziolis, Diop, Serrano (Cisma, min 63); Stuani (Munitis, min 68) et Nahuelpan.
0 - Real Madrid: Casillas; Arbeloa, Varane, Carbalho, Marcelo; Callejón (Di María, min 46) , Xabi Alonso, Lass (Kaka, min 76); Ozil (Higuaín, min 68), Ronaldo et Benzema.
Buts: aucun.
Cartons jaunes: Ozil, Lass, Stuani, Christian, Munitis, Adrián et Tziolis.
Cartons rouges: aucun.
Stade: El Sardinero, Santander, Espagne.
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ﻁ ta2 | ﻅ dhad | ﻉ 3ayn | ﻍ ghayn | ﻑ fa | ﻕ qaf | ﻙ kaf | ﻝ lam | ﻡ mim | ﻥ nun | ﻩ ha | ﻭ waw | ﻱ ya | ء hamza |
24 septembre 2011 à 10h00 - 17 réaction(s)
> Plus d'infos avec la revue spécialisée "Ciel et espace"
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Ni la Nasa, ni l'U.S Strategic Command, qui traque en permanence grâce à un réseau de radar près de 20.000 objets orbitaux de plus de dix centimètres de longueur, ne sont capables de localiser avec certitude le point d'impact du satellite Upper Atmosphere Research suspendu au-dessus de nos têtes depuis hier. Pareil pour le Centre pour l'étude des débris en orbite, basé en Californie.
Le suspense demeure donc entier après la volée de prédictions -toutes contradictoires car évolutives- qui ont tenu hier les amateurs de cosmos en haleine. Seule certitude : le satellite est bien rentré dans l'atmosphère entre 03h23 et 05h09 GMT alors qu'il survolait l'océan Pacifique. Il en découle une forte probabilité que les débris se soient éparpillés au Canada sur près de 750 km. Ce que laissait entendre dès ce matin le site le site Ciel et espace.
Bretagne, le Sud de la France...
Une incertitude d'une telle ampleur a donné lieu depuis plusieurs jours à de nombreux scénarios. En se basant sur les trois probables ultimes orbites du fameux satellite, Alain Cirou , directeur de la revue spécialisée "Ciel et espace" , évoquait deux zones françaises éventuellement concernées par le phénomène. Notamment la région de Perpignan, figurant sur l'avant-dernière orbite des modèles établis qui prédisent plutôt un impact dans le Pacifique. Mais si ces prévisions se confirmaient, le satellite traverserait peut-être le ciel du Sud de la France avant de s'écraser. Alain Cirou a également évoqué la Bretagne qui serait sur l'orbite suivante du satellite. La trajectoire établie passait en effet au-dessus de la Manche.
... ou l'Italie ?
Plus les heures avancaient et plus l'hypothèse d'un impact en France se réduisait. Le risque se déplacait alors sur l'Italie qui a d'ores et déjà enclenché une procédure de sécurité, la protection civile demandant aux habitants du nord du pays de rester chez eux.
Ce samedi matin, retour à la case départ : on n'en sait un peu plus : le satellite est bien tombé sur terre, mais où? Mystère et boule de feu !
1 chance sur 3.200
Y avait-t-il un danger ? La Nasa se veut toujours rassurante. Le risque "est extrêmement faible" qu'un humain sur les quelque sept milliards qui peuplent la Terre ait été touché par un des 26 morceaux du satellite qui devraient survivre à la rentrée dans l'atmosphère. Il y a une chance sur 3.200 que quelqu'un, quelque part dans le monde, soit frappé par un de ces débris. "Par comparaison, les chances de toucher 6 bons numéros à l'Euromillion avoisinent 1 sur 13 millions", s'amuse de son côté la revue "Ciel et espace".
La FAA, l'autorité américaine de l'aviation civile, a toutefois publié un bulletin il y a deux jours mettant en garde les pilotes contre "un danger potentiel" représenté par ces débris.
« On veut montrer notre vrai visage », ont clamé de concert les Bleus toute la semaine. Si l’équipe de France a montré son vrai visage en sombrant face à celle de Nouvelle-Zélande (défaite 37-17), samedi à l’Eden Park d’Auckland, il lui sera impossible de remporter la Coupe du monde.
En vue des quarts de finale, on préfèrera retenir les dix premières minutes convaincantes des Bleus et la fin de rencontre rassurante ponctuée d'un essai de Trinh-Duc.
Les optimistes se diront que cette défaite va permettre à la France d’hériter de la meilleure moitié de tableau, avec une hypothétique demi-finale contre l’Irlande au lieu de l’Australie. Mais qui aujourd’hui oserait parier un mois de salaire sur la présence des hommes de Marc Lièvremont dans le dernier carré ? Sauf métamorphose spectaculaire et avec de telles lacunes dans leur organisation, ils auront bien du mal à s’extirper du quart de finale qui se profile face à l’Angleterre, le 8 octobre au même endroit.
Approximatifs en défense, improductifs en attaque, Thierry Dusautoir et ses hommes n’ont pas fait grand-chose pour éviter la marée noire. Toujours pas qualifiés pour la phase finale, ils n’auront pas trop d’une semaine avant leur dernier match de poule, samedi prochain à Wellington face au Tonga, pour se remettre de leur gueule de bois et chercher un moyen de relever la tête.
Les Bleus font illusion dix minutes
Pour la 100e sélection de leur capitaine McCaw, les All-Blacks ont tenu la promesse annoncée lors d’un haka version Kapa o Pongo, achevé d’un geste pour trancher la gorge.

Sans doute agacés par cette provocation, les tricolores ont pourtant fait illusion 10 minutes, en acculant leurs hôtes dans leur moitié de terrain, mais sans jamais trouver la faille pour concrétiser cette domination initiale au tableau d’affichage. Seule une tentative de drop de Parra a donné l’illusion aux Bleus qu’ils pourraient mener au moins une fois dans ce match à sens unique, mais le ballon a rebondi sur le poteau. Quand ça ne veut pas …
Une fois chaud, les Blacks ont passé la vitesse supérieure et récité leur rugby comme à l’entraînement, face à une opposition fantomatique. En onze minutes, trois essais signés Thomson, Jane et Dagg, ont suffit à ôter tout suspense à la rencontre à la moitié de la première période.

Devant leurs femmes, leurs enfants ou leurs parents incrédules en tribunes, Traille, Picamoles, Ducalcon ou encore Szarzewski ont multiplié les erreurs et précipité la perte de leur équipe. La pénalité réussie avant le retour aux vestiaires par Yachvili n’a pas changé grand-chose au diagnostic : l’équipe de France n’est pas au niveau.
Fous de rage sur le bord de la touche, les remplaçants des Bleus n’ont cessé de trépigner durant toute la rencontre, se tenant prêts à entrer sur le terrain à la première alerte. Dans son box fermé d’un plexiglas, Marc Lièvremont n’a cessé de s’affaisser sur son siège, au point de disparaître sous son pupitre à la mi-temps. N’ayant que dix minutes pour tenter d’impulser un improbable retournement de situation, le sélectionneur a sorti les plus mauvais de ses joueurs pour lancer Harinordoquy, Heymans et Barcella.

Souhaitant la bienvenue aux trois nouveaux venus par un essai de Dagg, les Blacks ont toutefois moins écrasé la partie par la suite. Dès l’entrée en jeu de Servat, la mêlée tricolore a repris de sa superbe. Au moins un point positif. Une interception de Mermoz sur une passe mal assurée par Carter, puis un sacrifice de Trinh-Duc, entré à la place de Parra, ont permis de faire jeu égal sur la fin de rencontre. De quoi faire naître un tout petit espoir et espérer des jours meilleurs.
En vue des quarts de finale, on préfèrera retenir les dix premières minutes convaincantes des Bleus et la fin de rencontre rassurante ponctuée d'un essai de Trinh-Duc.
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Approximatifs en défense, improductifs en attaque, Thierry Dusautoir et ses hommes n’ont pas fait grand-chose pour éviter la marée noire. Toujours pas qualifiés pour la phase finale, ils n’auront pas trop d’une semaine avant leur dernier match de poule, samedi prochain à Wellington face au Tonga, pour se remettre de leur gueule de bois et chercher un moyen de relever la tête.
Les Bleus font illusion dix minutes
Pour la 100e sélection de leur capitaine McCaw, les All-Blacks ont tenu la promesse annoncée lors d’un haka version Kapa o Pongo, achevé d’un geste pour trancher la gorge.

Sans doute agacés par cette provocation, les tricolores ont pourtant fait illusion 10 minutes, en acculant leurs hôtes dans leur moitié de terrain, mais sans jamais trouver la faille pour concrétiser cette domination initiale au tableau d’affichage. Seule une tentative de drop de Parra a donné l’illusion aux Bleus qu’ils pourraient mener au moins une fois dans ce match à sens unique, mais le ballon a rebondi sur le poteau. Quand ça ne veut pas …
Une fois chaud, les Blacks ont passé la vitesse supérieure et récité leur rugby comme à l’entraînement, face à une opposition fantomatique. En onze minutes, trois essais signés Thomson, Jane et Dagg, ont suffit à ôter tout suspense à la rencontre à la moitié de la première période.

Devant leurs femmes, leurs enfants ou leurs parents incrédules en tribunes, Traille, Picamoles, Ducalcon ou encore Szarzewski ont multiplié les erreurs et précipité la perte de leur équipe. La pénalité réussie avant le retour aux vestiaires par Yachvili n’a pas changé grand-chose au diagnostic : l’équipe de France n’est pas au niveau.
Fous de rage sur le bord de la touche, les remplaçants des Bleus n’ont cessé de trépigner durant toute la rencontre, se tenant prêts à entrer sur le terrain à la première alerte. Dans son box fermé d’un plexiglas, Marc Lièvremont n’a cessé de s’affaisser sur son siège, au point de disparaître sous son pupitre à la mi-temps. N’ayant que dix minutes pour tenter d’impulser un improbable retournement de situation, le sélectionneur a sorti les plus mauvais de ses joueurs pour lancer Harinordoquy, Heymans et Barcella.

Souhaitant la bienvenue aux trois nouveaux venus par un essai de Dagg, les Blacks ont toutefois moins écrasé la partie par la suite. Dès l’entrée en jeu de Servat, la mêlée tricolore a repris de sa superbe. Au moins un point positif. Une interception de Mermoz sur une passe mal assurée par Carter, puis un sacrifice de Trinh-Duc, entré à la place de Parra, ont permis de faire jeu égal sur la fin de rencontre. De quoi faire naître un tout petit espoir et espérer des jours meilleurs.
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